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12/04/2009

Commentaires

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Anne Burroni

Le livre d'Allan S.Weiss me laisse indécise...mais retrouver Baudelaire m'apparaît comme une priorité!
"Garde tes songes. Les sages n'en ont pas d'aussi beaux que les fous". Sublime. Majestueux.
Baudelaire, on croit à la magie quand il s'agit de sorcellerie, on pense à la fascination pour céder à l'envoûtement...

ororea

Visez pas l'Académie, vous, chuis carrément déçue (avec le tour que je donne à ce blog, zaviez vos chances)...Et sinon, "Pour le vrai dandy, le nous n'existe pas: le mot dandy ne fonctionne qu'au singulier, car le dandy est unique, sans précédent, sans généalogie, sans dynastie". En gros, il est seul et voluptueux, il se la pète, il ne sait pas faire autrement."Euuuh, seriez pas un peu dandy vous aussi? Genre tout seul et voluptueux? Non, ça m'arrangerait, mais sinon, tant pis, mes excuses à votre dame, noooon pas sur la tête, les dicos!

Anne B

Cher Frédéric,
J'aime bien ce que vous dites de Baudelaire! C'est vrai qu'il est "notre Dante", qu'il "nous fait sentir" l'enfer...sauf qu'il ne nous emmène pas vers les sphères lumineuses du paradis.
"Baudelaire est le premier voyant, roi des poètes, un vrai Dieu", comme l'exprime si justement Rimbaud.
Les phrases de Allen S. Weiss , citées en fin de texte, sont en effet très belles.Oui, elles sont l'écho des poèmes de Baudelaire, laideur et beauté, l'enfer et le ciel, la félicité et la douleur, pesanteur, chair, un siècle envahi par la force démoniaque.
Oui, "retrouver" Baudelaire!

Petites choses délectables que ces métiers disparus, "inspecteur de tempêtes", "accordeurs de clochettes", "fileur de sucre", "réparateur de poupées", "trouvère", sont mes préférés. On voit les visages, les mains, les objets, les lieux, on entend le tonnerre des voix, le son des clochettes...

Un tout petit peu de Dante...

Au milieu du chemin de notre vie
je me retrouvai par une forêt obscure
car la voie de droite était perdue

ororea

Les enfants de la télé
J'ai trouvé des vidéos de FF tout jeune (ya juste les lunettes qui changent et la cravate):
http://www.ina.fr/archivespourtous/index.php?action=ft&full=Ferney,%20Fr%E9d%E9ric

Asselineau

Les phrases citées à la fin de votre chronique - qu'à juste titre vous trouvez magnifiques et que vous attribuez à l'auteur de cet ouvrage (à vous lire, l'auteur semble se les approprier) - sont tout simplement de Baudelaire lui-même : elles sont extraites des "Paradis artificiels". N'est-ce pas significatif ? A l'évidence, il est préférable de lire Baudelaire à toute fiction de ce genre, ouvrage dont on ne voit guère l'intérêt, tant au plan littéraire qu'au plan historique (sur ce sujet comme sur tous les autres, les travaux de Claude Pichois restent une référence incontournable).

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