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25/04/2009

Commentaires

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ororea

Aaaah on aime bien les Celtes finalement...Des infos pour mes fans (je frime...) : Moi chuis à moitié bigoudène; mon père est bigouden (ancien kiné) et ma mère de Cleder (infirmière).

ororea

Pas de FF sur France Culture cet aprèm, on le retrouvera en mai :

samedi 16 mai 2009
> Emission du samedi 16 mai 2009

Portrait de l’artiste en hors-la-loi, de Fiona Capp (Actes Sud)
Journal 1973-1982, de Joyce Carol Oates (Philippe Rey)
Un don, de Toni Morrison (Christian Bourgois)
Fado, d’Andrzej Stasiuk (Christian Bourgois).

Avec Xavier Houssin, Frédéric Ferney, Min Tran Huy, Alexis Lacroix.



samedi 23 mai 2009
> Emission du samedi 23 mai 2009

Composition française, de Mona Ouzouf (Gallimard)
On dirait vraiment le paradis, de John Cheever (Joëlle Losfeld)
Intrigue à Versailles, d’Adrien Goetz (Grasset)
Le contraire de la mort, de Roberto Saviano (Robert Laffont).

Avec Frédéric Ferney, Nathalie Crom, Josyane Savigneau, Jean-François Colosimo.

Ambre

Je découvre votre blog.
Merci pour ce beau billet sur Mona Ozouf.

ororea

Minuit quinze : rien, les traditions se perdent. bah, il embrasse bien, regardez attentivement :
http://www.vsd.fr/contenu-editorial/en-coulisses/contrechamp/155-making-of-les-30-acteurs-cles-de-l-edition

Critiquator

@ ororea Merci pour le calendrier et l'oeil aux aguets !

ororea

De rien, il est mignon en rouge aussi. D'après mes infos, c'est Olivia de Lamberterie sur la vidéo, elle est pas moche...(le galopin)

ororea

Il a encore disparu :
Por qué te vas?
http://www.youtube.com/watch?v=e5UxmVoBWNY&feature=PlayList&p=41457EC027F87A88&playnext=1&playnext_from=PL&index=21

ororea

Minuit quinze : que dalle. Pour la peine, FF période hippie, tendance intello à cheveux longs :
http://www.youtube.com/watch?v=tUQMKEfUdK0

Chr. Borhen

@ ororea : FF c'est votre chanteur préféré ?

ororea

Chanteur, moui, comme Carla et moi présidente de la République?
Sinon, comme chanteurs, j'aime bien Gainsbourg, Chanfort, James Blunt...

ororea

FF chanteur :
On me dit que nos vies ne valent pas grand chose
Elles passent en un instant comme fanent les roses
On me dit que le temps qui glisse est un salaud
Que de nos chagrins il s'en fait des manteaux
Pourtant quelqu'un m'a dit

Refrain
Qu'ororea m'aimait encore
C'est quelqu'un qui m'a dit que tu m'aimais encore
Serais ce possible alors


On me dit que le destin se moque bien de nous
Qu'il ne nous donne rien et qu'il nous promet tout
Parait qu'le bonheur est à portée de main
Alors on tend la main et on se retrouve fou
Pourtant quelqu'un m'a dit


Refrain
Qu'Ororea m'aimait encore
C'est quelqu'un qui m'a dit que tu m'aimais encore
Serais ce possible alors

Mais qui est ce qui m'a dit que toujours tu m'aimais
Je ne me souviens plus c'était tard dans la nuit
J'entend encore la voix mais je ne vois plus les traits
Elle vous aime, c'est secret, lui dites pas que j'vous l'ai dit
Tu vois quelqu'un m'a dit

Que tu m'aimais encore me l'a t'on vraiment dit
Que tu m'aimais encore serais ce possible alors

On me dit que nos vies ne valent pas grand chose
Elles passent en un instant comme fanent les roses
On me dit que le temps qui glisse est un salaud
Que de nos tristesses il s'en fait des manteaux
Pourtant quelqu'un m'a dit que


Refrain
Qu'Ororea m'aimait encore
C'est quelqu'un qui m'a dit que tu m'aimais encore
Serais ce possible alors

ororea

S'il part en vac sans prévenir, le blog va vite être recouvert de tags et graffitis :
http://www.flickr.com/photos/chyara/496003115/

ororea

Minuit quinze : nib, que pouic. J'espère que FF 117 n'a pas choppé la grippe porcine à force de partir en vadrouille et d'étreindre des demoiselles.

Chr. Borhen

@ Ororea : sauf votre respect - je suis sincère - et eu égard aux règles les plus élémentaires de la courtoisie, j'ose quand même vous dire ceci, tout en souhaitant, de manière immanente, que vous n'en preniez guère ombrage : vous m'énervez.

Éric Poindron

à Christophe Bohren :

J'adore !!!

Et je partage !

Et qu'est que c'est bien dit !

Amitiés camarade.

Eric Poindron, l'autre fantôme de l'opéra.

Éric Poindron

BSC NEWS, Le magazine littéraire et culturel en ligne consacre, en partie, son numéro d' avril au phénomène "Littérature et Internet".

L'édition en ligne, la littérature et le numérique, les médias littéraire du web, la promotion des livres sur internet et les blogs littéraires, ... Faîtes un tour d'horizon en lisant les interviews de plus de 20 invités qui nous parleront de cette nouvelle vague.

On y retrouve aussi, d'après BSC News, des entretiens avec les bloggeurs littéraires les plus influents sur la toile française :

Frédéric Ferney - Le Bateau libre, Bartleby les yeux ouverts, Christian Cottet-Emard, Marc Villemain, Laure Limongi, lecabinet de curiosités de Eric Poindron, etc.

Pour découvrir le Magazine (gratuit) :

http://www.bscnews.fr/


P.S.
Cher Christophe Bohren, vous êtes strasbourgeois, donc, comme mon cher Sebastian Brandt ?

Eric Poindron

Claire Ogie

Oh ! merci Eric Poindron pour ces informations, je viens juste de feuilleter ce magazine - mais dit-on encore feuilleter lorsque c'est du virtuel ? - je vais lire tout cela plus en détail. Instructif en tous cas, du peu que je viens de voir.

Et merci à vous deux messieurs (C.Borhen et E.Poindron), pour cette petite mise au point non négligeable, j'apprécie également.

Beau Ris de Viande

@Christophe Borhen : vous savez bien très cher que "la question du détonateur s'résout en un quart d'heure c'est de celles qu'on écarte", "soyons sérieux disons le mot c'est même plus un cerveau c'est comme de la sauce blanche".

Éric Poindron

Il est vrai que l'époque est à Boris Vian que l'on va "pléaïdisé...

Donc, il y a Claire, Beau ris de viande (ah ! ah !), nous autres et d'autres encore que je n'ose citer... Alors redevenons un peu sérieux. Chez Ferney, c'est un endroit bien tenu tout de même, et pas le prix de Flore !

Eric Poindron

ororea

OK, toutes mes excuses, je disparais...

Éric Poindron

Ororea,

Disparaître est peut-être beaucoup ; mesurez-vous plutôt.

Du reste FF - que j'ai eu cet après-midi au téléphone, vous reconnaît toutes les qualités que vous possédez. Ne transformons pas ce bel endroit en champs de mine.

Eric Poindron

P.S. notre ami commun travaille à sa future émission-télévision, vous vouliez de la littérature et de la conversation, c'est pour tout bientôt.

Pour les nouveaux, il existe "les amis du bateau libre" que l'on trouve facilement sur Internet.

Charon

Je trouve les interventions d'Ororea très spirituelles, Ferney m'apparaissait coincé, grâce à elle il me parait sympathique et plein d'humour.

artichaud

Que serait FF sans Ororea? rien. Que serait Sisyphe sans son rocher? rien. Que serait-il sans la pente et la montagne? rien. Que serait Narcisse sans l'étang qui l'a engloutit? rien
Ororea, vous êtes le décor, la folie. Ororéa c'est grace a vous que FF a de l'intérêt. Vous faites de lui un personnage romantique. Mieux vous êtes romanesque, vous êtes fictive et de fiction, vous êtes gestes et signes, balbutiement et certitude. C'est grace a des personnages comme vous que la littérature existe. C'est grace aux personnages que les auteurs existent. C'est grace a votre feu que le charbon se forme. Ce charbon qui fait la pointe des crayons... avec lequel on écrit....

parsifal

Ororea et FF. L'un lié à l'autre virtuellement, l'une se nourrissant du verbe de l'autre.
A chaque intervention d'Ororea, un humour et surtout un amour de la langue se fait jour.
Elle énerve ??? Et alors !!!
Un peu de créativité, d'imagination, de folie douce ne fait pas de mal
Laissons ses mots venir nous taquiner, histoire de nous amuser.

Anne Burroni

Christophe Borhen, Ororea vous énerve. Soit. Mais malgré votre empressement à user de toutes les politesses d'usage, il est évident – pour vous reprendre - qu'elle en a pris ombrage.
Quant à Eric Poindron, j'ignorais que vous faisiez office de censeur.
Je suis déconcertée devant vos propos et le ton presque enjoué qui les accompagnait. Et je trouve maladroit de préciser que vous avez parlé au téléphone avec F. Ferney, notamment d'Ororea, et d'évoquer par la même l'amitié qui vous lie. J'imagine le malaise qu'elle a du ressentir. La démarche est malencontreuse. J'ose espérer que ce n'était pas délibéré.
Il est vrai que c'est « un bel endroit » où même les désaccords ont toujours été abordés de manière respectueuse et courtoise mais je pense que vous avez été blessant, et c'est regrettable.

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